Marre de tourner en rond ? Si tu veux faire une différence dans ta carrière, ton projet ou ta vie personnelle, il va falloir regarder dans les yeux la pire force d’inertie que tu transportes chaque jour : tes excuses. Elles sont confortables, bien emballées, parfois même logiques… mais elles t’empêchent d’agir. Voici 5 excuses tueuses qu’il est temps de pulvériser.
1. « Ce n’est pas le bon moment »
Spoiler : il ne le sera jamais. Si tu attends le moment parfait, tu attends la permission de quelqu’un d’autre. Le timing idéal est une illusion de perfectionniste paralysé. Ce que tu fuis, c’est l’inconfort de commencer. Le bon moment, c’était hier. Le deuxième meilleur moment, c’est maintenant.
2. « Je ne suis pas encore prêt »
Traduction : tu veux éviter l’échec. Mauvaise nouvelle : tu vas échouer. Bonne nouvelle : c’est comme ça qu’on apprend. Attendre d’être prêt, c’est refuser d’apprendre. Les meilleurs se lancent avec 60 % du plan en tête. Le reste se construit en marchant.
3. « Je n’ai pas le temps »
Tu as Netflix, Instagram, des soirées, mais pas 30 minutes par jour pour ton projet ? Le temps, ce n’est pas une ressource, c’est une priorité. On trouve toujours du temps pour ce qui compte. Si tu dis « je n’ai pas le temps », ce que tu dis en vrai, c’est : « ce n’est pas assez important pour moi ». À toi de choisir ta vérité.
4. “J’ai peur d’échouer ”
Et si tu échouais ? Oui, ça fait mal. Mais tu survivras. La peur de l’échec est normale, mais elle ne doit pas conduire ta vie. Le vrai échec, c’est de ne rien tenter. Ceux qui avancent ne sont pas sans peur, ils avancent avec leur peur, et la dépassent.
5. “ Ce n’est pas ma faute ”
Peut-être pas. Mais ce sera toujours ta responsabilité. Tant que tu accuses le système, le contexte, la famille ou le pays, tu abandonnes ton pouvoir. Prends en charge ce que tu peux changer. Même petit. Même lentement. C’est ça, le vrai contrôle.
Chaque excuse est un confort toxique. Elle t’apaise à court terme, mais elle t’enterre à long terme. Tu peux faire mieux. Tu peux être meilleur. Mais pas tant que tu refuses de te responsabiliser.